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"Si tu veux connaître quelqu'un n'écoute pas ce qu'il dit mais regarde ce qu'il fait"

Si L'équipe "Le Bon Sens" avait été aux commandes ces dernières années, voilà ce qui ce serait passé :

Vue de dessus des enfants qui jouent
Vue de dessus des enfants qui jouent

Périscolaire 

Suppression du SIGS qui impose des tarifs toujours plus hauts pour une service toujours plus bas :

- pas de piscine (alors que c'est obligatoire) et pas de ski. Alors que les communes voisines, impactées elles aussi par des travaux ont nagé, skié chaque année...

- impossible de pratiquer le ping- pong : matériel cassé et non remplacé

- impossible de jouer au ballon : le foot, basket sont devenus interdits

- pas d'aide aux devoirs

- pas de classe de mer

- aucune dépense d'animation

Tous les ateliers et spectacles sont payés par les parents via le Sou (là où dans les autres écoles ces dépenses sont prises en changer par la mairie...)

Le SIGS dépense des centaines de millier d'euros chaque année mais les enfants n'en profitent pas beaucoup...

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 /      Cantine

​Nos actions :

Prix maximum de 7 € pour la cantine.

Ne pas gaspiller c'est bien mais assurer un respect des grammages par enfants pour respecter leurs besoins, c'est mieux. 

Ouvrir une péri du matin

Aide aux devoirs

Renouveler le matériel pour faire bouger les jeunes : ping-pong + un panier de basket dans la cour + 1 but de foot + fermer le bas de clôture pour éviter la sortie des ballons et d'exposer nos enfants aux tiques du champ voisin.

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Comment ?

- supprimer le SIGS en doublon de l'ensemble des fonctions administratives de la mairie (comptabilité, ressources humaines) et qui fait de l'école du Sappey l'une des plus chère du département tout en ne proposant aucune activité. 

- remplacer la cuisine par un service traiteur (économie 16 000€ par an et une garantie de respect des quantités, variété des menus, diversité)​

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Mini-pelle

La commune a acheté pour 60 000 euros une mini-pelle (somme à laquelle il faut ajouter le coût de la remorque, du CACES spécial pour pouvoir la conduire, de l'entretien...).

Une dépense folle alors qu'elle possède déjà un tractopelle.  Pour quel usage ? Sachant que c'est la Métropole qui a la compétence voirie...

Une aberration écologique à une époque où il est nécessaire de cesser d'acheter pour laisser dormir dans un garage mais au contraire de partager l'existant, mettre en commun, louer pour éviter de gaspiller les ressources.

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Avec cette somme on aurait pu : réhabiliter la cure pour en faire une vraie Maison des associations, ou refaire vraiment le terrain de foot, ou remplacer les modules de skate-park, ou créer de nouvelles activités...

Triste, non ?

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Jeux et sport au parc 

Les bascules auraient bien besoin d'être remplacées, le skatepark devient dangereux, les tennis sont impraticables, les modules du parcours VTT cassés...

Les biens communaux au service des sappeyards manquent d'entretien. Il devient urgent de repenser les usages de nos fonds.

Créer des appartements (loyers) vs/ La salle "Activité douces"

La commune aurait pu profiter de la seconde rénovation de la mairie pour créer un nouveau revenu   en créant des appartements dans les combles, plutôt que créer une salle d'activités douces non accessible aux personnes à mobilité réduite.

Elle aurait pu réserver ces logements aux personnes aidant le maintien à domicile des ainés par exemple. Il n'est pas trop tard...

clés de la maison
Bibliothèque

Mairie temporaire : cure  vs/ bibliothèque

Etablir la mairie temporaire dans la bibliothèque oui ! mais cloisonner ? et empêcher ainsi le retour de la bibliothèque ?

Et si au lieu de mettre 20  ? 30 000 ? de travaux dans la mairie temporaire on avait réhabilité la cure ?

Quelques bureaux pour quelques mois en journée, le soir des salles comme neuves pour les activités... En voilà une dépense qui aurait été utile aux associations...

et la bibliothèque dans tout ça ? où va-t-elle être relogée ? 

A nouveau un service que l'on rend inaccessible à nos ainés ou à toute personne à mobilité réduite...

Les routes et arrêts de bus 

Nos routes sont abimées : trouées, "raccommodées", etc.

Nos arrêts de bus pas tous pourvus d'abris... et souvent situés dans des carrefours dangereux.

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et pourtant l'équipe en place a utilisé les rares fonds métropolitains pour contraindre un cours d'eau et construire une barrière. Nous aurions préféré des aménagements de transports utiles et sécurisants.

Couloir de bus
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